Le temps passe

J’ai 11 an, tu quitte le primaire pour rentrer au collège. La primaire ce passage merveilleux ou tu est innocent de tout, tu joues aux billes, tu lances tes carte DBZ en priant pour qu’elles aillent le plus loin possible afin de gagner celle de ton concurrent, tu fais des paris d’amis (avec toujours la petite blague si tu perds, tu perds un pote) et bien sur ta fameuse bande (la bande des copains en l’occurrence pour moi) t’es le plus grand tu te sens fort. Et puis s’ouvre devant toi les portes du collège. Dispersion de ta bande dans les différentes 6^ème, fini de jouer les grands du primaire maintenant tu es un petit du collège.

J’ai 15, fini le collège, fini les 4 ans passé dans cet enfer où, à chaque année les gens de ta classe change. Mais bon tu t’y es bien amusé, tu as appris plein de chose nouvelle sur la vie et ses mystères, tu as rencontré une fille en 4^ème et puis elle te largue en 3^ème, tu ne le sais pas encore mais ce n’est que le début des tristes histoires d’amours. Tu vie la plus belle semaine de vacances de ta vie, où tu rencontre la fille qui te fais rire, celle qui est comme toi, celle qui est ton amie et que tu retrouve 7 ans plus tard au détour d’un face book. Et puis tu rentre au lycée la grande vie, la perte de tout t’es amis qui ne vienne pas dans ton super bahut, super bien coté (tu veux faire une bonne S ? vas à Branly, ah ouais je t’ai pas dis il y a pas de fille dans ce lycée. Remarque tu pourras te concentrer sur tes étude), enfin moins bien coté maintenant. Et puis tu retape ta seconde pour pouvoir aller en S mais non tu fais pire et tu te retrouve en STI.

J’ai 19 ans, t’as ton permis de conduire après le 2^ème essai, t’as eu ton BAC au rattrapage, t’es accepté en BTS, 1^er vrais vacances loin de papa maman, juste avec ton pote d’enfance (ex membre de la bande des copains trop original comme nom ouais mais zut) direction les plages vendéennes. Tout va bien dans ta vie.

J’ai 22 ans, tu refais ta 2^èmeannée de BTS, tu rencontre une fille parfaite avec qui tu file le parfait amour, tu revois une fille après 7 ans elle n’a pas changée, tout va bien pour elle alors tu es content pour elle. Tu commence à parler de ton départ pour Barcelone avec ton pote d’enfance et le pote d’enfance de ton frère qui est maintenant un de tes meilleurs potes.

Nous somme le dimanche 6 avril 2008, je rentre de ma soirée hebdomadaire de chez bob, aucune remise en question ce soir c’est cool.

Enfin une utilité ?

Hum mon petit blog qui pousse, c’est décidé tu seras là de façon à se que je puisse sortir mes phrases cultes et pour me permettre aussi d’écrire se qui me passe par la tête, parce que ouais j’aime écrire, on dirait pas comme ça et pourtant. Je me suis toujours bien débrouillé en cours de français lors de mon parcours scolaire. J’aime bien m’évader sortir de ce monde pas tip top qu’est le notre m’imaginer ailleurs, à une autre époque, mais toujours avec les mêmes personnes. Alors j’espère que vous fidèle lecteur j’arriverai à vous emmenez avec moi dans mon pays magique du grand n’importe quoi.

Du grand n'importe quoi

Mourir, est-ce vraiment la fin de la vie ? Ne continuons-nous pas de vivre à travers les gens, les choses que l’on a laissé derrière nous ? Dans le cœur de la femme que l’on aime, nous vivons encore. Je suis posé sur ma chaise et je ne sais pas quoi faire alors je me mets à taper, taper tout et n’importe quoi

Taper ce qui me vient par la tête et on verra si quelque chose de bien en sortira, quelque chose de bien, quelque chose de mal mais de toute manière quelque chose qui me tient à cœur, c’est mon cœur qui parle c’est ma tête qui dicte.

Même si ça veut rien dire je m’en tape et je continue, je tape je tape jusqu’à ce que je ne comprenne plus rien moi-même à ce que je fais.

Jusqu’à ce que de mon état second quelqu’un me sorte. Je me fiche des fautes je me fiche des autres pensez ce que vous voulez moi ça m’importe peu car ce que je dis n’est pas construit. Important, est-ce la construction des phrases ? Mon texte est déjà parti vers un endroit inconnu qui s’appelle le n’importe quoi rien n’est relié rien n’est connecté tout ce que je dis n’a rien à voir les uns avec les autres et pourtant au moment où je tape pour moi c’est normal c’est mon esprit qui fuse n’importe quel mot que je dis je le tape des phrases incohérentes qui pour vous n’ont pas de sens c’est normal mon sens à moi n’en a pas non plus.

Avec mon casque sur les oreilles et pas de musique j’ai l’air malin mais bon ça me tient chaud ça me réconforte j’installe un bien-être en moi qui me fait me sentir mieux dans ce moment où je tape je préfèrerai peut-être être dans les cieux.

Pas dans les cieux mort, mais dans les cieux en haut où tu vois tout ou plus rien n’a d’importance où tu ne dois et où personne ne te dois quelque chose tu es seul avec toi-même comme moi à cet instant. Mais la réalité du monde te fait redescendre et moi me faire sortir de mon état. J’ai envie de rire à cet instant plus envie de pleurer normal quelque chose de bien pourrait m’arriver.

Quelques minutes plus tard.

Me revoilà dans mon esprit spirituel dans lequel je vis lorsque je ne veux plus rien avoir à faire avec le monde extérieur par pitié que quelqu’un me sorte de là. Voilà encore une fois je me sors de là tout seul plus rien à dire plus rien à penser plus rien à raconter d’incohérent.

Voilà mon état d’esprit en ce moment.

Bien le bonjour chez vous les gens.

PS : je vous avais prévenus dans ma tète c’est un gros bordel.

Jte dis, Jt'explique, Jt'informe

Et voilà au final la vague bloguienne à réussie à m'emporter. Je vais pas y aller par 4 chemins et en fait pas t'expliquer se qui va se passer sur ce blog, parce que moi même je n'ai pas encore trouvé, comment il sera conçu, se que je vais raconter (bon ça devrait être ma vie mais je sais pas... si tu es sage), tout simplement parce que dans ma tête c'est juste un gros bordel, un amas de gros n'importe quoi. Enfin bref tu verras bien.